Le nom « Orient Express » évoque la magie et la légende d’une époque où les voyageurs d’une certaine élégance succombaient à l’appel des contrées exotiques. Il éveille dans notre imaginaire la vision d’un train conçu pour les modes de vie glamours et chics. Il incarne une envie d’aventure, une curiosité pour les terres lointaines et mystérieuses, tout en baignant pleinement dans un monde de luxe abondant. Tout commence avec Georges Nagelmackers, un visionnaire qui rêvait de voyager confortablement et librement par voie terrestre de Paris à Constantinople. Son rêve se concrétise enfin le 4 octobre 1883. Ce jour-là, une foule élégante se rassemble dans la Gare de l’Est à Paris afin de célébrer en grande pompe la toute première sortie d’un des trains de luxe les plus somptueux jamais créés. Le mythe de l’Orient Express est né. L’icône du voyage ferroviaire de luxe est la source d’inspiration du Montblanc High Artistry A Journey on the Orient Express Limited Edition 10. Son design global rend hommage à la fois à la décoration d’intérieur créée par René Lalique et au roman d’Agatha Christie Le Crime de l’Orient-Express.   Infatigable voyageuse, Agatha Christie est l’une des plus célèbres plumes à avoir à la fois séjourné à bord de l’Orient Express et écrit à son propos, immortalisant le train dans son roman policier de 1934 Le Crime de l’Orient-Express, qui présente une galerie de personnages insondables et des indices quasiment indéchiffrables. Le design de cette édition intègre de nombreuses références aux détails de l’affaire fictive. Le capuchon et le corps sont confectionnés en bois de sycomore teinté et ornés d’incrustations feuille d’or et fleur de cristal, réalisées à la main, inspirées des intérieurs luxueux du train, et notamment des ouvrages de marqueterie bois de René Prou ou des incrustations en verre moulé et en argent de René Lalique.  Le mécanisme spécial, à ouverture à poussoir, est somptueusement décoré de diamants taille brillant.   Le sommet du capuchon en calcédoine blanche est incrusté d’un emblème Montblanc en or 18 K souligné par une kyrielle de diamants taille brillant. La pierre peut être ouverte pour révéler une pendule miniature « cassée » dissimulée à l’intérieur, dotée d’un cadran en émail blanc et indiquant « 1 h 15 », l’heure du meurtre dans le roman.  L’anneau du sommet du capuchon est serti de 12 pierres, évoquant le nombre de coups reçus par la victime, tandis que la plume en or 18 K bicolore est embossée de l’arme du crime, un poignard. La partie avant comporte une gravure du plan de la cabine 2, où a eu lieu l’assassinat. Le chiffre 2 figure également sur le cône en or 18 K orné de diamants taille brillant et d’incrustations en calcédoine blanche, et équipé d’un mécanisme d’engrenage tournant pour le remplissage à piston. La fenêtre ovale emblématique de la voiture-restaurant constitue la source d’inspiration de l’agrafe « masquée », encastrée dans le capuchon, confectionnée en or 18 K et embellie d’un corps et d’une tête de serpent gravés à la main partiellement sertis de diamants taille brillant et de deux rubis pour les yeux. Le serpent rappelle le Montblanc Writers Edition 1993 en l’honneur d’Agatha Christie, dont l’agrafe était ornée d’un serpent.   Par or signature et/ou placage à l’or signature, Montblanc désigne la nuance claire de l’or jaune qui est devenue une couleur appréciée pour les instruments d’écriture de la Maison.